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Entretien avec un sociologue guinéen : les facteurs endogènes qui entravent la paix 

by Redation
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Entretien avec un sociologue guinéen : les facteurs endogènes qui entravent la paix 
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Pays côtier de l’Afrique de l’Ouest, la République de Guinée est au cœur de l’actualité internationale ces treize dernières années. Depuis 2010, le pays connaît une instabilité politique qui influe sur la vie en société. Cela fait que la question de l’instauration de la paix revient quotidiennement dans les discours officiels ou non officiels, alors que le pays ne vit pas un conflit armé. Arrivés au pouvoir après avoir renversé le régime d’Alpha CONDÉ le dimanche 5 septembre 2022, la volonté des militaires (nouveaux dirigeants) n’a pas encore permis de véritablement parvenir à cette fin.

Dans la recherche de solutions pour l’instauration d’une paix durable en Guinée, nous avons approché un sociologue. Il s’agit de Monsieur Mamoudou  Mariam TOUNKARA, chargé de Cours de Sociologie à l’université Général Lansana Coné de Sonsonia.  Il fait un inventaire des facteurs endogènes qui empêchent l’instauration de la paix en Guinée. Il fait aussi des propositions de solutions pour y parvenir.

Doit-on aujourd’hui parler de paix en République de Guinée sachant que le pays n’est pas en guerre ? La réponse est « oui », selon Monsieur Mamoudou Mariam TOUNKARA qui se justifie : « À l’état actuel des choses, il faut parler de la paix ; parce que pour certains, on ne parle de la paix que lorsqu’il y a un état de guerre. La paix, comme l’a dit Spinoza, ce n’est pas une absence de guerre, c’est plutôt un état d’esprit, un équilibre psychologique et sociologique marqué par la foi en la justice et en l’avenir commun de la nation dans son entièreté. 

À l’intérieur d’un pays, lorsque les individus se sentent en sécurité, lorsqu’ils ne vivent pas la peur au ventre, lorsqu’ils n’ont pas peur de ce qui peut  leur arriver comme mal de la part de soit de la nature (les intempéries), de la part d’autres citoyens (l’insécurité),  lorsqu’ils n’ont pas peur de l’institution, de l’appareil étatique ; en un mot, lorsqu’il y a le bien vivre ensemble, lorsqu’il y a l’harmonie, la cohésion, l’entente entre les différentes composantes d’une nation, bien évidemment, on parle de paix. Au vu des éléments que je viens d’énumérer, est-ce qu’on peut dire qu’il y a en Guinée un état de paix ? Je réponds : non ! Vous me dirai que notre pays n’est pas en guerre, d’accord. Mais est-ce qu’il y a l’harmonie, la cohésion sociale, est-ce que le Guinéen vit en sécurité, mène une vie de stabilité ? La réponse est sans doute non ! Donc en Guinée, il n’y a pas de paix », il n’y a non plus pas de guerre, précisons-le.

La grille de solutions

Si alors, nous ne sommes pas en guerre mais que nous avons besoin de la paix, c’est qu’il y a une question cruciale : comment faire en sorte que cette idée firme partie de paix que nous avons puisse se maintenir dans le temps et dans l’espace ? Le jeune doctorant en sociologie de l’environnement préconise une panoplie de solutions. De la base au sommet, chacun doit apporter sa part de contribution pour construire un havre de paix, selon l’enseignant.

« En tant que sociologue, il faut savoir que la paix est une question sociale. Et une question sociale ne peut pas être résolue que par une union de force et d’intelligence de tout le corps social. C’est un combat pour tout le monde et ce pour tous les jours. Pour se faire, l’État (l’exécutif) doit faire en sorte que nous ayons des institutions fortes et non des hommes forts, comme disait Barack OBAMA. Cela voudrait dire que force doit rester à la loi et aux institutions et non aux hommes qui occupent ces institutions parce que la nation reste mais les individus passent.

Il faut aussi respecter les lois et les faire respecter. Cela équivaut à dire qu’il faut absolument bannir l’impunité. Un crime impuni occasionne un autre plus grave. Il faudrait aussi promouvoir l’égalité entre tous les citoyens en évitant le deux poids deux mesures dans l’application des lois et dans l’exécution de certaines décisions de l’exécutif.

Il faudrait  également qu’il y ait la transparence dans la gestion de la chose publique. Les gouvernants doivent avoir la culture de la redevabilité en rendant compte au peuple qui les a investis de ce pouvoir [de gouvernants]. L’on doit sortir dans le culte de la personnalité qui consiste à dire que c’est Dieu qui a fait de tel un gouvernant. En le faisant, l’on le transforme en un monstre capable de tout ravager demain. Nous ne devons pas fabriquer nos propres dictateurs car cela ne favorise pas un climat de paix.

Au niveau des citoyens, nous devons sortir du régionalisme, de l’ethnocentrisme et de l’ethnostratégie. Quand l’organisation sociale est fondée sur les appartenances subjectives, lorsque nous nous plaisons à nous réunir en fonction de nos obédiences régionales, ethniques et ethnocentristes, c’est déplorable. Ce sont des modes de vie qui ne favorisent pas la paix. Cela ne veut pour autant pas dire que les gens doivent renier leur appartenance ethnique ! Mais il faut magnifier ce que nous sommes et ce que sont les autres. L’ethnie n’est pas un problème mais ce que l’on fait de l’ethnie c’est ça le problème. L’ethnie est en chacun de nous, c’est une construction sociale », conseille-t-il.

Une question de changement de mentalité

Parmi les moyens d’instauration d’une paix durable en Guinée, il y a cette question de changement de mentalité. Notre interlocuteur c’est le point d’impact qu’il faille frapper pour tordre le fer. « Les conflits naissent dans l’esprit des Hommes et c’est dans l’esprit des Hommes qu’il faille les combattre comme le stipule un slogan de l’UNESCO. Et pour les combattre, il faudrait que l’exemple vienne d’en haut c’est-à-dire des gouvernants. Il faudrait aussi que les citoyens sortent de ce comportement de singe qui consiste à se regrouper en fonction de nos origines régionales, communautaires et ethniques. Il faudrait une éducation (des citoyens) à la paix et surtout au niveau des plus jeunes pour supprimer le « nous » et le « eux ». Ce que le nous (notre communauté) dit du eux (l’autre communauté) en famille n’est souvent pas bon à entendre. L’éducation est une arme très efficace pour lutter contre les conflits et les instabilités. Elle se fait donc en famille, à l’école et dans la société », martelle-t-il, tout en soulignant le rôle que les médias doivent jouer dans cette tâche de changement des mentalités. « Il faudrait aussi que vous les acteurs de médias, vous impliquiez dans l’éducation de masse qui est la meilleure éducation ». 

Pas question de banir le multipartisme

Il y a qu’en Guinée, le multipartisme est remis en cause ces treize dernières années. Les détracteurs trouvent en ce système (instauré dans les années 90 sous feu président Lansana CONTÉ) l’agent pathogène des maux dont souffre la Guinée. Ces derniers suggèrent aujourd’hui le bipartisme. Ce n’est donc pas rien que cette option figure en première ligne des nouveautés qui doivent figurer dans la nouvelle constitution que le régime de la transition compte soumettre au peuple. Mais pour le jeune sociologue, là n’est pas le problème. C’est plutôt la façon dont l’on se sert du multipartisme.

« La façon dont nous pratiquons la politique (la politique politicienne) n’est pas un faveur de la construction d’une société de paix. Dans notre pays, nous n’avons pas de partis politiques. Nous avons plutôt des entreprises qui appartiennent à des individus qui en font ce qu’ils veulent en mélangeant les paisibles populations. Si non, nous partons dans les mêmes mosquées, les mêmes églises, les mêmes marchés ! Mais jamais quelqu’un ne se lève pour porter main sur son prochain parce qu’il est de telle ou telle ethnie. Mais dès que les périodes électorales s’annoncent, c’est-à-dire partout où il y a la répartition des biens les plus rares, il y a tout de suite conflit. Les biens les plus rares c’est le savoir d’abord, ensuite l’avoir et en fin le pouvoir. Et dans le contexte de notre pays, s’il y a répartition d’un de ces biens surtout le dernier, les gens pensent que si quelqu’un est de mon groupe ethnique et en possède, je vais en bénéficier plus que les autres qui ne le sont pas. Donc il faut que ce dernier soit au pouvoir. C’est là où naissent les problèmes de notre société. Les Malinkés se battent pour qu’un Malinké soit au pouvoir, les peuls se battent pour la même raison. Mais est-ce que quand un Malinké est au pouvoir ça va profiter qu’aux Malinkés ? L’exemple d’Alpha CONDÉ est là !

Donc, moi je pense que le bipartisme était bon au départ. À cette allure dire qu’on va passer, brutalement, du multipartisme au bipartisme, ça va être compliqué. Le multipartisme s’est installé dans la durée. Des années 90 jusqu’à maintenant, 33 ans, il sera très difficile de faire un recule sans désordre. Et pour éviter le désordre, moi je pense qu’il serait bon de continuer avec le multipartisme. Si on était dans le bipartisme on aurait certainement dit aujourd’hui que c’est le multipartisme qui est bon. Moi je pense qu’il faut tirer profit du multipartisme. Le multipartisme n’est pas mal. C’est comment on le fait ? Même si on prend le meilleur système politique au monde, si on ne l’applique pas comme il se doit, ça va produire de mauvais résultats ».

Pour Monsieur TOUNKARA, « on pourrait exiger qu’un homme politique prétendant gouverner le pays puisse bénéficier de la signature de la majorité de chaque groupe ethnique. On fixe les quotas pour chaque groupe ethnique ». De surcroît, il estime que les clivages ethniques, régionales, communautaires persistent du fait de la démission des leaders politiques dans l’éducation politique et citoyenne de leurs militants.

« Les partis politiques doivent jouer leur rôle. L’ancienne constitution l’avait consacré en son article 4 qui stipulait que les partis politiques ont l’obligation de veiller à l’éducation politique et citoyenne de leurs militants. C’est aussi une des solutions à l’instauration d’une paix durable en Guinée. Le leader doit choisir quoi dire aux militants dans le bon sens. Mais dans les sièges des partis politiques, nous assistons fréquemment aux discours va-t-en guerre pour la seule fois dans la semaine que le leader rencontre les militants.

Que vaut la paix ?

En sociologie politique, on parle de la paix lorsque les individus d’une même société vivent dans une entente parfaite entre eux d’une part, entre eux et les pouvoirs publics d’autre part. Cet état de fait facilite le déroulement des actions de développement. Pour un pays comme la Guinée, la paix est donc un facteur essentiel pour le développement sur tous les plans. « Sans la paix, rien n’est possible dans un pays. Si on parle éducation, politique, économie, tout dépend de la paix. Sans la paix il n’y a pas de développement. Nous voyons ce que ça nous coûte dans les moments d’instabilité. Les infrastructures publiques et privées sont vandalisées, d’autres biens privés comme les engins roulants le sont ! Si on peut se réveiller matin aller à son lieu de travail et revenir, chercher du pain quotidien, c’est parce qu’il y a la paix. L’argent n’aime pas le bruit, on le dit souvent. Quand il y a les instabilités dans un pays, les investisseurs vont fuir. Personne ne voudra investir dans le risque. Tout le monde veut investir pour faire du profit.

Et aussi lorsqu’il y a conflit dans un pays, c’est l’égoïsme. Sans conflit c’est l’égoïsme mais dans le conflit, le niveau d’égoïsme grimpe considérablement. Et ça donne un terreau fertile à la criminalité. Vous savez dans notre pays il y a deux classes sociales : les pauvres et les riches. Il n’y a quasiment pas de classe moyenne. Donc en cas de conflit, les pauvres peuvent profiter pour piller les riches et les riches peuvent profiter pour appauvrir davantage les pauvres. Je donne un seul exemple. Avec les conflits, généralement les prix des biens de consommation et autres grimpent. Nous avons sous Alpha CONDÉ, les différentes crises que nous avons connues en son temps ont poussé les commerçants à augmenter les prix des produits sur le marché. Ce n’est qu’après le coup d’État qu’ils ont accepté de les baisser. Le conflit ne profite à personne mais la paix profite à tout le monde. Tout le monde doit donc rechercher la paix ».

La partition de la transition

Les élections sont une des sources d’instabilité en Guinée. Généralement, les résultats des scrutins sont contestés par l’opposition. Disposant de la force publique, le pouvoir en place finit toujours par avoir raison des mouvements de contestation qui prennent fin. Mais cela ne résout pas le problème. D’où ces conseils du sociologue aux autorités de la transition quant à leur rôle dans l’instauration d’une paix durable en Guinée.

« Le bon exemple doit venir d’en haut, je l’ai déjà dit. L’État doit être fort sans nous écraser. Donc l’État doit se faire sentir mais dans les règles de l’art, comme prescrites par les normes qui nous gouvernent. Le pouvoir en place doit faire preuve de bonne gouvernance, les institutions doivent fonctionner dans le respect de leurs attributions. Les élections à venir mettent la Guinée sur la sellette. Nous serons au carrefour de notre destin. Les autorités militaires doivent observer une neutralité totale lors des prochaines consultations électorales. Si les gouvernants actuels se mettent dans la logique d’aider Paul ou Pierre à accéder au pouvoir, eh bien la porte est ouverte au conflit. Tous les chantiers de développement qu’ils ont amorcés vont en pâtir. Chaque fois que le pays est en transition, nous sommes à quelques microns, de l’embrasement. Ils ont donné une parole, ils sont tenus de la respecter. C’est pourquoi leur rôle est crucial dans l’instauration d’une paix durable en Guinée. Le peuple et le monde entier les attendent-là ! »,  recommande-t-il.

Pour amorcer l’instauration d’une paix durable en Guinée, le jeune doctorant en sociologie a aussi conseillé aux autorités en place de faire en sorte que les recommandations des assises nationales soient appliquées en continuant surtout sur la voie du dialogue avec les différentes couches sociales et politiques.

 

Par Saa Joseph KADOUNO

 

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